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paroles de l'artiste...
Suivent une série
d'articles, avec un résumé qui donne une idée
de leur contenu. Ils sont accessibles à la fois en
version originale et en traduction française. Leur
présentation ne suit pas d'ordre chronologique.
À
propos de Line, 1999 |
Extrait
du communiqué de presse de l’exposition
personnelle de Vibeke Tandberg à la Galerie Nicolai
Wallner, Copenhague, en 1999 (cf.
WALLNER 1999 ; cf.
expo). L’artiste décrit sa série
Line (cf. la
série Line), et en explique les sources d’inspiration,
ainsi que les interprétations possibles. |
À
propos de Taxi driver too, Dad et Jumping dad, 2000 |
Texte
lié à l’exposition personnelle de
Tandberg à la Galerie Yvon Lambert, 2000 (cf.
TANDBERG 2000 B). Tandberg expose les affinités
et différences entre son film Taxi
Driver Too et Taxidriver réalisé
en 1976 par Martin Scorcese, dont elle s’inspire.
Concernant la série photographique Dad,
elle parle de ce qu’à une autre interview
(cf.
EKEBERG 2001 ; lire
l'interview) elle a désigné comme
« la relation entre héritage biologique
et influence sociale ». L’évolution
de la relation amusement-interdiction, depuis l’enfance
à l’âge adulte, est montrée
en fonction de sa série Jumping
Dad. |
Interview
“Où en êtes-vous avec les hommes ?”,
2001 |
Parmi
treize femmes, Vibeke Tandberg répond à
la question des Inrockuptibles : « Où
en êtes-vous avec les hommes? » (cf.
OÙ 2001) |
Interview
“It’s a mystery to me / Someone got me started”,
1998 |
Extraits
de l’article "It’s a mystery to me
/ Someone got me started" (cf.
HANNULA 1998 B). L’artiste parle de la relation
de son œuvre avec la réalité, et
avec ses rêves d’enfance, ainsi que de l’art
en général. |
Interview
pour Cityscape Oslo, 2001 |
Interview
de J. Ekeberg (cf.
EKEBERG 2001). Après avoir retracé
l’évolution du rôle de l’image
de soi au sein de son œuvre, l’artiste discute
sa relation avec son père et avec les grands
mythes du cinéma, au travers des séries
photographiques Dad
et Jumping
Dad, et les films Taxi
Driver Too et Pool. |
Interview
à l’occasion de l’exposition NOR-A-WAY,
1997 |
Interview
de Peter Herbstreuth (cf. KIEL 1997, p. 38-39).Lors
d’une autre interview (cf.
HANNULA 1998 B), Tandberg a affirmé "Mon
enfance est finie, et ne reviendra jamais. Par conséquent,
je recycle mes idées d’enfant, tous les
rêves que j'avais." (lire
l'interview). C’est de ces rêves qu’elle
parle ici, illustrés à travers ses séries
photographiques Aftermath,
Bride, et Living
Together. |
Instructions
de cadrage, 2001 |
Instructions
pour le cadrage des 11 photographies de la série
Sunflowers. |
Interview
“Réussir dans la photo”, 2000 |
Interview
« Slår gjennom med foto »
(réussir dans la photo) de Helge Seglsten (cf.
SEGLSTEN 2000). Tandberg parle de son succès,
ses expositions et ses clients en Norvège et
à l’international, en fonction des enjeux
artistiques. |
Interview
“Un Frankestein moderne”, 2000 |
"En
moderne Frankenstein", interview de Fredin (cf.
FREDIN
2000). À travers d’exemples pris dans
son œuvre, et notamment ses séries Faces,
Line et
Beautiful,
Vibeke Tandberg parle du facteur psychologique et ses
enjeux plastiques, et justifie son choix d’utiliser
sa propre image comme constante dans ses œuvres. |
Interview
“Les artistes de l’Exposition d’Automne”,
2002 |
Interview,
"Les artistes et l’Exposition d’Automne"
("Kunstnerne om høstutstillingen"),
Aftenposten, 11.IX.2002, p. 15. L’artiste
explique son choix de ne plus participer à l’Exposition
d’Automne (Høstutstillingen). |
“Identity
as a multiple strategy”, 2000 |
Extrait
du chapitre “Identity as a multiple strategy”
dans Why do I like rock music ? de M. Hannula (cf.
HANNULA
2000 B, p. 165). Tandberg trace l’évolution
du jeu de rôles dans son œuvre, de l’identification
aux archétypes liés à ses rêves
d’enfance, jusqu’à l’expérience
d’être soi-même. |
Note : La plupart des
traductions ont été faites par moi. Pour les
traductions du norvégien, je dois remercier deux traducteurs
bénévoles qui m'ont soutenu tout le long de
ce travail, et qui souhaitent rester anonymes. Je dois remercier
également Sébastien Muller pour ses conseils
très pertinents lors de la révision de ces traductions
du norvégien et de leur analyse, et Nadine Touzet pour
la traduction de certains extraits de l'anglais en français,
ainsi que pour les corrections qu'elle a portées sur
certaines tournures lamentablement anglicisantes de mes traductions.
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