REMERCIEMENTS
Je remercie avant tout
Monsieur Claude Frontisi, sans qui ce travail
n'aurait pu être mené à bien. Je ne
saurais le remercier suffisamment pour ses apports en matière
intellectuelle, mais également pour son soutien.
Je tiens à exprimer
aussi ma reconnaissance à tous ceux qui ont facilité
mes recherches : à Madame Vibeke Tandberg,
qui, malgré son emploi de temps très chargé,
vu qu’elle vient de donner naissance à deux
jumeaux, a entretenu une communication avec moi par e-mail ;
à la Collection Lambert, Avignon ;
à la Galerie Nicolai Wallner, Copenhague
et à la Moderna Museet, Stockholm ;
aux bénévoles qui ont traduit les écrits
de l’artiste du norvégien.
Avec une gratitude particulière
aux deux galeries berlinoises représentant Vibeke
Tandberg : à la Galerie Klosterfelde,
pour m’avoir permis de visionner –hors exposition–
deux films de l’artiste, et m’avoir envoyé
par la poste de nombreux articles ; et à Monsieur
Atle Gerhardsen, qui a facilité
mon contact personnel avec l’artiste, répondu
à plusieurs reprises à mes questions, proposé
des directions de recherche, et copié l’intégralité
de l’œuvre photographique de l’artiste
sur CD-ROM, en me donnant la permission de les utiliser
à ma convenance. Monsieur Gerhardsen m’a donné
un libre accès à toute la documentation conservée
dans sa galerie, voire même à des documents
non diffusables à la presse. Une aide exceptionnelle
de la part de deux galeristes de leur rang, qu’ils
m’ont accordé de bon gré, la considérant
comme partie de leur travail.
Je me sens obligée
de noter que j’ai été déçue
–bien que finalement contente– d’être
contrainte à voyager régulièrement
en Allemagne, et de travailler en coopération avec
des galeries berlinoises, afin d’obtenir les informations
nécessaires pour cette recherche. Dans certaines
galeries parisiennes, bien qu’elles soient davantage
axées sur la publicité, la diffusion des informations
ne semble pas être dans les habitudes. La question
« C’est une recherche de quel niveau ? »
est inévitable, et la phrase « mémoire
de maîtrise » déclenche souvent
le mépris. Pour ne pas me sentir trahie par mon pays
adoptif, je préfère croire que cette attitude
a été plutôt due à mon manque
d’expérience dans la communication avec les
galeries, que due à un manque d’un minimum
de professionnalisme de leur part.
Je voudrais en
dernier, et très particulièrement, remercier
mon frère Paul-Christophe, pour
son soutien en matière informatique et psychologique.
Marina Varouta